Les Echos - Montpellier à grands pas →
Une ministre de la Culture, des notables et… du vent. Montpellier Danse a démarré sur les chapeaux de roue le 21 juin. Emanuel Gat, le chorégraphe, invité en tant qu'artiste associé du festival, avait la lourde tâche d'ouvrir le bal dans la salle démesurée du Corum. Pas le meilleur écrin pour une piece, « The Goldlanbergs », fragile et forte à la fois, sacré paradoxe. Dans les lumières rasantes se rejouent des scènes familiales avec des danseurs dont on ne sait trop quels sont les liens. Gat parle de « commentaire métaphorique sur la vie à travers un point de vue intime sur la nature des relations humaines ». Il imagine dès lors des corps pliés en deux, des tableaux où le mouvement est à l'arrêt. Et, surtout, des duos racés qui racontent la peur de l'autre ou l'attirance.
Read MoreLe Figaro - Festivals de l'été 2013: les incontournables →
Depuis trente-trois ans, c'est le grand rendez-vous de l'art chorégraphique. Au rang des plaisirs de cette édition, trois pièces d'Emanuel Gat, aussi subtil que puissant, la nouvelle création de Blanca Li, Robot, et les folies furieuses des Dairakudakan. Mais aussi les classiques de Trisha Brown, Israel Galvan ou Maguy Marin, Desh d'Akram Khan et la dernière création de François Chaignaud. Du 22 juin au 7 juillet 2013. www.montpellierdanse.fr
Read MoreLe Figaro - Emanuel Gat hypnotise Montpellier →
Emanuel Gat manie son art très personnel de la chorégraphie comme une science qu'il pousse de plus en plus loin, pour traduire des réflexions de plus en plus subtiles. Sa position de chorégraphe associé à cette édition de Montpellier Danse permet de mieux entrer dans son univers. Tous les après midis, il crée une pièce en public. On le voit demander aux danseurs d'interpréter les paroles d'une chanson qu'ils ont en tête. On le voit aussi les suivre en direct, appareil de photo au poing, comme pour mieux saisir les mouvements qui fusent et la concentration dans les profils et les regards. Ses photos ciselées dans l'or tendre de la chair et du soleil font l'objet d'installations à la chapelle et la cave de l'Agora. L'une et l'autre évoquent l'intimité dans une nuit de velours, bruissante de pas ou de cantiques. Immobile mais hypnotique, c'est l'autre chant de la danse.
Read MoreDanses avec la plume - The Goldlandbergs, Emanuel Gat →
Il faudra un jour faire une étude approfondie sur la fascination des chorégraphes contemporains pour la musique de Bach. Peut-être parce qu'elle ne s'encombre pas de fioriture, même si très complexe sur le fond, pour toucher au plus juste. Il ne suffit pas simplement de danser dessus, parce que ce serait trop facile. Il faut l'écouter, l'approfondir, comme si la danse était un nouveau contrepoint à la mélodie.
Read MoreTouteLaCulture.com - Au Théâtre de la ville, Emmanuel Gat fait revivre Glenn Gould →
The Goldlanbergs était jusqu’au 29 mars au Théâtre de la ville. La création 2013 d’Emmanuel Gat est un spectacle hybride. Il associe des documentaires sonores et visuels réalisés par l’un des grands interprètes de Bach, Glenn Gould à une danse dont la sobriété met en valeur l’univers artistique de ce musicien hors du commun.
Read More(FR) Le Monde - « The Goldlandbergs », coup de chaud d’Emanuel Gat
En slip et en chaussettes! Sous une lumière éblouissante qui fait briller la peau et oblige à s’essuyer régulièrement le visage pour ne pas dégouliner, The Goldlandbergs, chorégraphié par Emanuel Gat, à l’affiche du Théâtre de la Ville, à Paris, donne un coup de chaud.
Cette ambiance solaire, surprenante au regard de pièces récentes de Gat, plutôt amateur de pénombre douce, colle à l’esprit ludique et malicieux de ce spectacle pour huit interprètes. Tantôt sautant comme des cabris, tantôt se glissant à quatre pattes sous unpartenaire, causant et batifolant jusqu’à grimper les uns sur les autres dans un méli-mélo de jambes et de bras, ils circulent d’un bord duplateau à l’autre avec une désinvolture élégante.
Read MoreTélérama - Emanuel Gat - Sacre/Gold →
Revoir la version salsa du Sacre du printemps, d’Igor Stravinsky, imaginée en 2004 par le chorégraphe israélien Emanuel Gat, est un régal que l'on savoure à l'avance. Sur un tapis rouge, deux hommes et trois femmes tourbillonnent sur les élans percussifs de la musique. La chasse est ouverte, le plaisir déborde, les corps se choisissent.
Read MoreLibération - Montpellier gâté par Emanuel Gat
Artiste associé cette année au festival héraultais, le chorégraphe israélien présenteu ne exposition de photos et trois créations, dont « The Goldlandbergs »,une sorte de conversation d’après Bach avec le pianiste Glenn Gould.
Read MoreTanz Im August - The Goldlandbergs
“Emanuel Gat combines Glenn Gould with Glenn Gould: the Bach-Interpreter with the radio visionary. The result led to a highly baroque dance scenery, extended by a captivating photoinstallation.”
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