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Es war wohl das für Kooperationen stets offene, stets neugierige Ensemble Modern, das den ersten Schritt tat, aber der israelische Choreograf Emanuel Gat (Student der Musik, ehe er sich dem Tanz zuwandte) scheint sich keinen Moment geziert zu haben: So stehen nun das Frankfurter Orchester und die Company Gats gemeinsam auf einer Bühne, jetzt der des Frankfurt LAB. „Story Water“ hatte im Sommer in Avignon Uraufführung, nun war das 75-minütige Stück ein Höhepunkt des in der Hauptsache vom Mousonturm ausgerichteten Tanzfestivals Rhein-Main.
With each new piece, the choreographer Emanuel Gat and his dancers compose together, improvise, and inspire each other. Giving birth to intense and complex pieces, such as "Story Water", presented in the Cour d’Honneur du Palais des papes.
“We laugh at gestures from the world of swimming or children's games. We are seized by perfect lines and backs that embody the vibrations of strings. The further the show progresses, the more coherent it is as an allegory of a life within a community that would work.”
“For his first participation at the Avignon Festival, this Israeli choreographer based in France did not choose the easy way. But by asserting the strive towards a dance in which performers are at the centre - and sometimes co-authors - Emanuel Gat stands out in the big leagues. And at the Cour d’Honneur.”
“What a journey and what a show! Let’s say it, Story Water is a success. It is not that Emanuel Gat has “tamed the wal” of the court as is the custom. He plays in front of it.”
“Emanuel Gat delivers an energetic and vibrant choreography. [...] It has been a long time since a dance show was so captivating in the Cour d’Honneur du Palais des Papes.”
“Story Water immerses a deep and serene look upon where music and choreography meet, intermediaries offered to a space where everyone can walk, just as crossing a garden. * This sentence could summarise the feeling at the end of the show, a sensation that will remain and continue to grow in us. To receive this gift, one will need to be patient, to wait for the last minutes of this performance, and thus to experience the power and strength of Story Water.”
“Nailed to their chairs, seized by the purity and modesty of Gat’s dance, the spectators have only one desire: to rush on the stage. We come out smiling, remembering why we so often go to the theatre: to experience those rare and short moments when a joyful meeting takes place as we are united by Art. Gat inscribed his name on the pediment of the greatest choreographers who have played in the Cour d’Honneur.”
“But finally, Story Water is, indeed, a masterful ode to dance, an act of faith and high maturity from an artist who has reached the heights of mastery.”
Gloriously weird, off-kilter, surprisingly funny, double Bessie Award-winning choreography from Emanuel Gat astounds in this kaleidoscopic collection of pieces.
Emanuel Gat’s WORKS offers an enticing evening of dance. His dancers live in the moment, reacting to the instant, just what is needed in a world that is changing at a frightening speed. The performance is not memorable for grand effects or cutting edge design but for the intense human focus in the many small meaningful reactions that make it a living, breathing and constantly evolving piece of theatre.
Emanuel Gat’s newest show, WORKS, is a stripped back dance piece which champions the dancer in their rawest form: a human.
Sadler’s Wells, London
Relationships between the Israeli choreographer’s idiosyncratic dancers play out on stage in a surreal and touching show
Emanuel Gat is one of the Israeli choreographers living and working abroad that were invited to perform as part of Suzanne Dellal’s 30th year celebrations. Gat, 50, like some of his peers found abroad accessible recognition and support. The evening included two creations and opened with WORKS, an assemblage of components from recent works that sum up to a large degree his approach to his ongoing dance investigation.
Créée à Montpellier Danse il y a deux ans, Works avait alors un autre aspect. Appelée TENWORKS (for Jean-Paul), hommage d'Emanuel Gat au directeur du festival, elle réunissait des artistes du chorégraphe et du Ballet de l'Opéra de Lyon pour un plateau fourni d'une vingtaine d'interprètes. La pièce a depuis pris son indépendance, s'est resserré en nombre de danseurs et danseuses (neuf sur scène quand nous l'avons vue pour cette chronique), est partie en tournée à travers le monde. Mais le principe est resté le même : une danse virtuose et complexe, comme une tornade, où la créativité d'Emanuel Gat se mêle à celles de ses interprètes. Et c'est à eux, profondément, que l'oeuvre rend hommage. "Works célèbre les danseurs et danseuses. Leur unicité, leur virtuosité, leur engagement, leur audace, leur sens des responsabilités et leur humanité", selon les mots du chorégraphe.
Né en Israel en 1969, Emmanuel Gat fait ses premiers pas de danseur de manière fortuite à l'âge de 23 ans, lors d'un atelier dirigé par le chorégraphe Nir Ben Gal. Seulement quelques mois plus tard, il rejoint sa compagnie avec laquelle il se produit à l'international pendant un an, avant de devenir chorégraphe indépendant.
Invité pour la première fois à Vaison Danses, dont la mairie de Vaison-la-Romaine a repris récemment la gestion, Emanuel Gat a choisi de montrer des pièces de son répertoire, Works et Sacre, en y ajoutant un trio en création mondiale.
Fidèle de Montpellier Danse, Emanuel Gat marie pour le meilleur les danseur.se.s de sa compagnie à ceux et celles du Ballet de Lyon pour créer dix courtes pièces, TENWORKS (for Jean-Paul). Un passionnant et réjouissant programme dédié à Jean-Paul Montanari, le Directeur du festival.
A Montpellier Danse Emanuel Gat dévoile TENWORKS pièce hybride pour 2 compagnies, 20 danseurs et quelques musiciens.
En 2013, Emanuel Gat était l’artiste associé de la 33e édition du Festival Montpellier Danse où il est régulièrement invité. Le chorégraphe israélien qui a si souvent séduit le public parisien est pour cette année convié à présenter, du Peyrou à la Mairie, des Duos dans l’espace public. Il y en aura cinq en tout, on vous raconte le premier.
26 juin 2017 / Amelie Blaustein Niddam
[…] ces courtes pièces bénéficient d’un geste pur et radicalement essentialiste tel qu’elles ne peuvent supporter la moindre emphase. Sur la promenade et la terrasse du Peyrou, l’opus inaugural met en scène la rencontre de deux corps masculins sculpturaux qui se coursent ou bien s’entrelacent avec sensualité et une malice évidente à prendre des poses antiques ou à jouer des attitudes tendrement viriles et primesautières.
26 juin 2017 / Christophe Candoni
Depuis ses débuts de chorégraphe, Emanuel Gat est plutôt avare de duos, mais, quand il en crée un, c’est littéralement époustouflant, comme ces Variations d’Hiver données en 2009 à Montpellier Danse avec Roy Assaf. C’est l’occasion pour lui de se concentrer sur une forme qui induit un retour à l’essentiel. La limitation des possibilités de composition du fait du nombre restreint de danseurs implique un retour aux bases. L’attention portée au mouvement et la création d’un contexte fort deviennent des enjeux d’autant plus cruciaux.
25 mai 2017 / Agnès Izrine
Le Grand Théâtre de Provence et le Théâtre de l’Olivier programment, ce mois-ci, SUNNY, la dernière création d’Emanuel Gat, chorégraphe israélien installé à Istres. L’occasion d’une rencontre sur la genèse de son travail.
Ne à Tel-Aviv de parents marocains, Emanuel Gat a d'abord étudié la musique avant de se lancer dans la danse et de débuter sa carrière de chorégraphe, il y a une vingtaine d'années. Awir Leon, c'est le parcours inverse : la danse avant de débuter la musique electro.
Superbe pièce pour dix interprètes, mise en musique live par Awir Leon, la nouvelle création d'Emanuel Gat « SUNNY » va ravir le public du Grand Théâtre de Provence.
Once they had returned to the scene, the dancers divided into groups of different sizes and began to move in unison. Frequently, they would fall out of this unison, only to repeat the same fragments of choreography until, after several attempts dancing the entire sequence of movements, they would attain it once again, or otherwise join a new group and restart the weary search for unison. Of particular note was the remarkable performance by Awir Leon.
Une création superbe d’Emanuel Gat, chorégraphe associé à Montpellier Danse et soutenu par la Fondation BNP-Paribas.
Dès sa première pièce en France, Emanuel Gat a pu compter sur le Festival Montpellier danse pour y présenter ses créations au point d’être maintenant chorégraphe associé à Montpellier Danse, c’est dire le chemin parcouru par cet artiste Israélien, installé à Istres avec sa Compagnie où il mène un travail de plus en plus remarquable et abouti
Sunny, nouvelle pièce au répertoire de la compagnie Emanuel Gat a été créée dans le théâtre de l’Agora, le 25 juin au festival Montpellier Danse. Dans la lignée du travail délicat amorcé par l’artiste installé à Istres, le spectacle comprenant un dj live d’Awir Leon (aussi danseur de la compagnie), ouvre une réflexion gigogne sur le processus de création chorégraphique.
Emanuel Gat and Awir Leon open this year’s Tanz im August festival with SUNNY. The piece is an unpretentious, open, and largely improvised collaboration between music and movement. Lily Kelting sat down with the duo to discuss musical genres, avoiding definitions, and the importance of letting go.
A Montpellier Danse, la concurrence cette année ne vient pas des matchs de l'Euro mais bien plus des plages qui, la chaleur aidant, font le plein. Pourtant, dès la fin de journée de petites foules communient avec ferveur pour célébrer... la danse contemporaine sous toutes ses formes.
Haletante, cette pièce semble se conduire toute seule, échapper au contrôle, bourgeonner d'éclosions, de superpositions, en canon dans un entremêlement de trajectoires solistes. Et cet entrelacs sinueux est toujours habité d'un son follement libre, escarpé et joyeux. Un autre visage de l'incandescence électronique.
Une ministre de la Culture, des notables et… du vent. Montpellier Danse a démarré sur les chapeaux de roue le 21 juin. Emanuel Gat, le chorégraphe, invité en tant qu'artiste associé du festival, avait la lourde tâche d'ouvrir le bal dans la salle démesurée du Corum. Pas le meilleur écrin pour une piece, « The Goldlanbergs », fragile et forte à la fois, sacré paradoxe. Dans les lumières rasantes se rejouent des scènes familiales avec des danseurs dont on ne sait trop quels sont les liens. Gat parle de « commentaire métaphorique sur la vie à travers un point de vue intime sur la nature des relations humaines ». Il imagine dès lors des corps pliés en deux, des tableaux où le mouvement est à l'arrêt. Et, surtout, des duos racés qui racontent la peur de l'autre ou l'attirance.
Depuis trente-trois ans, c'est le grand rendez-vous de l'art chorégraphique. Au rang des plaisirs de cette édition, trois pièces d'Emanuel Gat, aussi subtil que puissant, la nouvelle création de Blanca Li, Robot, et les folies furieuses des Dairakudakan. Mais aussi les classiques de Trisha Brown, Israel Galvan ou Maguy Marin, Desh d'Akram Khan et la dernière création de François Chaignaud. Du 22 juin au 7 juillet 2013. www.montpellierdanse.fr
Emanuel Gat manie son art très personnel de la chorégraphie comme une science qu'il pousse de plus en plus loin, pour traduire des réflexions de plus en plus subtiles. Sa position de chorégraphe associé à cette édition de Montpellier Danse permet de mieux entrer dans son univers. Tous les après midis, il crée une pièce en public. On le voit demander aux danseurs d'interpréter les paroles d'une chanson qu'ils ont en tête. On le voit aussi les suivre en direct, appareil de photo au poing, comme pour mieux saisir les mouvements qui fusent et la concentration dans les profils et les regards. Ses photos ciselées dans l'or tendre de la chair et du soleil font l'objet d'installations à la chapelle et la cave de l'Agora. L'une et l'autre évoquent l'intimité dans une nuit de velours, bruissante de pas ou de cantiques. Immobile mais hypnotique, c'est l'autre chant de la danse.
Il faudra un jour faire une étude approfondie sur la fascination des chorégraphes contemporains pour la musique de Bach. Peut-être parce qu'elle ne s'encombre pas de fioriture, même si très complexe sur le fond, pour toucher au plus juste. Il ne suffit pas simplement de danser dessus, parce que ce serait trop facile. Il faut l'écouter, l'approfondir, comme si la danse était un nouveau contrepoint à la mélodie.
The Goldlanbergs était jusqu’au 29 mars au Théâtre de la ville. La création 2013 d’Emmanuel Gat est un spectacle hybride. Il associe des documentaires sonores et visuels réalisés par l’un des grands interprètes de Bach, Glenn Gould à une danse dont la sobriété met en valeur l’univers artistique de ce musicien hors du commun.
En slip et en chaussettes! Sous une lumière éblouissante qui fait briller la peau et oblige à s’essuyer régulièrement le visage pour ne pas dégouliner, The Goldlandbergs, chorégraphié par Emanuel Gat, à l’affiche du Théâtre de la Ville, à Paris, donne un coup de chaud.
Cette ambiance solaire, surprenante au regard de pièces récentes de Gat, plutôt amateur de pénombre douce, colle à l’esprit ludique et malicieux de ce spectacle pour huit interprètes. Tantôt sautant comme des cabris, tantôt se glissant à quatre pattes sous unpartenaire, causant et batifolant jusqu’à grimper les uns sur les autres dans un méli-mélo de jambes et de bras, ils circulent d’un bord duplateau à l’autre avec une désinvolture élégante.
Revoir la version salsa du Sacre du printemps, d’Igor Stravinsky, imaginée en 2004 par le chorégraphe israélien Emanuel Gat, est un régal que l'on savoure à l'avance. Sur un tapis rouge, deux hommes et trois femmes tourbillonnent sur les élans percussifs de la musique. La chasse est ouverte, le plaisir déborde, les corps se choisissent.
Artiste associé cette année au festival héraultais, le chorégraphe israélien présenteu ne exposition de photos et trois créations, dont « The Goldlandbergs »,une sorte de conversation d’après Bach avec le pianiste Glenn Gould.
“Emanuel Gat combines Glenn Gould with Glenn Gould: the Bach-Interpreter with the radio visionary. The result led to a highly baroque dance scenery, extended by a captivating photoinstallation.”
Une ministre de la Culture, des notables et… du vent. Montpellier Danse a démarré sur les chapeaux de roue le 21 juin. Emanuel Gat, le chorégraphe, invité en tant qu'artiste associé du festival, avait la lourde tâche d'ouvrir le bal dans la salle démesurée du Corum. Pas le meilleur écrin pour une piece, « The Goldlanbergs », fragile et forte à la fois, sacré paradoxe. Dans les lumières rasantes se rejouent des scènes familiales avec des danseurs dont on ne sait trop quels sont les liens. Gat parle de « commentaire métaphorique sur la vie à travers un point de vue intime sur la nature des relations humaines ». Il imagine dès lors des corps pliés en deux, des tableaux où le mouvement est à l'arrêt. Et, surtout, des duos racés qui racontent la peur de l'autre ou l'attirance.
Depuis trente-trois ans, c'est le grand rendez-vous de l'art chorégraphique. Au rang des plaisirs de cette édition, trois pièces d'Emanuel Gat, aussi subtil que puissant, la nouvelle création de Blanca Li, Robot, et les folies furieuses des Dairakudakan. Mais aussi les classiques de Trisha Brown, Israel Galvan ou Maguy Marin, Desh d'Akram Khan et la dernière création de François Chaignaud. Du 22 juin au 7 juillet 2013. www.montpellierdanse.fr
Emanuel Gat manie son art très personnel de la chorégraphie comme une science qu'il pousse de plus en plus loin, pour traduire des réflexions de plus en plus subtiles. Sa position de chorégraphe associé à cette édition de Montpellier Danse permet de mieux entrer dans son univers. Tous les après midis, il crée une pièce en public. On le voit demander aux danseurs d'interpréter les paroles d'une chanson qu'ils ont en tête. On le voit aussi les suivre en direct, appareil de photo au poing, comme pour mieux saisir les mouvements qui fusent et la concentration dans les profils et les regards. Ses photos ciselées dans l'or tendre de la chair et du soleil font l'objet d'installations à la chapelle et la cave de l'Agora. L'une et l'autre évoquent l'intimité dans une nuit de velours, bruissante de pas ou de cantiques. Immobile mais hypnotique, c'est l'autre chant de la danse.
Il faudra un jour faire une étude approfondie sur la fascination des chorégraphes contemporains pour la musique de Bach. Peut-être parce qu'elle ne s'encombre pas de fioriture, même si très complexe sur le fond, pour toucher au plus juste. Il ne suffit pas simplement de danser dessus, parce que ce serait trop facile. Il faut l'écouter, l'approfondir, comme si la danse était un nouveau contrepoint à la mélodie.
The Goldlanbergs était jusqu’au 29 mars au Théâtre de la ville. La création 2013 d’Emmanuel Gat est un spectacle hybride. Il associe des documentaires sonores et visuels réalisés par l’un des grands interprètes de Bach, Glenn Gould à une danse dont la sobriété met en valeur l’univers artistique de ce musicien hors du commun.
En slip et en chaussettes! Sous une lumière éblouissante qui fait briller la peau et oblige à s’essuyer régulièrement le visage pour ne pas dégouliner, The Goldlandbergs, chorégraphié par Emanuel Gat, à l’affiche du Théâtre de la Ville, à Paris, donne un coup de chaud.
Cette ambiance solaire, surprenante au regard de pièces récentes de Gat, plutôt amateur de pénombre douce, colle à l’esprit ludique et malicieux de ce spectacle pour huit interprètes. Tantôt sautant comme des cabris, tantôt se glissant à quatre pattes sous unpartenaire, causant et batifolant jusqu’à grimper les uns sur les autres dans un méli-mélo de jambes et de bras, ils circulent d’un bord duplateau à l’autre avec une désinvolture élégante.
Revoir la version salsa du Sacre du printemps, d’Igor Stravinsky, imaginée en 2004 par le chorégraphe israélien Emanuel Gat, est un régal que l'on savoure à l'avance. Sur un tapis rouge, deux hommes et trois femmes tourbillonnent sur les élans percussifs de la musique. La chasse est ouverte, le plaisir déborde, les corps se choisissent.
Artiste associé cette année au festival héraultais, le chorégraphe israélien présenteu ne exposition de photos et trois créations, dont « The Goldlandbergs »,une sorte de conversation d’après Bach avec le pianiste Glenn Gould.
“Emanuel Gat combines Glenn Gould with Glenn Gould: the Bach-Interpreter with the radio visionary. The result led to a highly baroque dance scenery, extended by a captivating photoinstallation.”
EMANUEL GAT, CHORÉGRAPHE HUMANISTE
Comme dans un laboratoire, le chorégraphe Emanuel Gat s’efforce, dans chacune de ses pièces, de réinventer les interactions entre ses danseurs et la composition d’ensemble de ses tableaux. II en résulte une écriture tout en intensité valorisant chacun de ses interprètes, comme dans Lovetrain2020, qui tourne en 2024 dans toute l’Europe.